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 Le chien de St. John (JM.Wurtz)

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MessageSujet: Le chien de St. John (JM.Wurtz)   Le chien de St. John (JM.Wurtz) Icon_minitimeJeu 13 Nov 2008 - 10:59

Voici un petit résumé de ce qu'on sait du chien de St. John et qu'on ne trouve pas dans la littérature actuellement disponible en langue française.
Edward C. Ash dans son livre daté de 1927 et intitulé « Dogs, their history and developments » se faisant le témoin de l’opinion de W.C.L. Martin (1845) écrit : « Martin considère que le chien de Terre Neuve n’est originaire ni de cette île ni de la région du Labrador, mais est d’origine Européenne, peut être modifié par des croisements avec des chiens esquimaux ou d’autres races nord-américaines. L’île de Terre Neuve fut découverte en l’an 1000 par des norvégiens partis à l’aventure depuis le Groenland. Plus tard, en 1497, cette région fut redécouverte par John Cabot qui lui donna son nom définitif. Aucune mention n’est faite dans le compte rendu de son expédition de l’existence de chiens autochtones particuliers, ni même de l’existence de chiens tout court. A la suite de Cabot, plusieurs expéditions de pêche privées se rendirent à Terre Neuve et il est très probable que des colons au XVI èmè et XVII éme siècle introduisirent le stock originel des chiens qui par le biais de divers croisements et d’une sélection ultérieure aboutirent aux différentes races que l’on baptisa chiens de Terre Neuve »….. « Il a été suggéré que ces chiens furent introduits par des norvégiens du fait qu’en 1844, les paysans des régions montagneuses de Norvège possédaient des chiens ressemblant aux Terre Neuves et qu’ils utilisaient pour chasser l’ours et le loup ».
Theo Marples, dans « show dogs », soutenait lui aussi l’idée d’une origine européenne pour les ancêtres des Terre Neuves. Il considérait que leurs oreilles tombantes allaient à l’encontre d’une origine arctique, les chiens vivant sous ces latitudes de l’extrême nord ayant les oreilles dressées. Ces mêmes oreilles grandes et tombantes suggéraient aussi que ces chiens européens furent que peu croisés avec des races esquimaudes ou, que ceux qui le furent, disparurent par la suite.
Pour Ash il ne fait aucun doute que les Terre Neuves sont des chiens importés et donne des preuves supplémentaires de l’absence de chiens dans cette région, du moins avant 1620. Il cite un auteur anglais qui en 1732 parlait pour la première fois d’un chien de Terre Neuve présent en Grande Bretagne : « Le bear dog (chien ours) est de grande taille, d’allure assez amorphe mais pourtant très vigilent. Il vient de l’île de Terre Neuve où lui et confiée la garde des propriétés. Il a une voix très sonore quand des étrangers s’approchent de lui et est tout à fait capable de par sa force de faire tourner une roue à eau ».
Ash cite d’autres auteurs qui, entre 1765 et 1776 parlaient de très puissants chiens de trait présents sur l’île de Terre Neuve.
Il mentionne aussi le fait que dès 1790, les chiens étaient si nombreux là bas que le contrôle de leur population s’imposa. Nombre d’entre eux furent alors ramenés en Grande Bretagne et vendus dans les villes portuaires. Il relate la descrïption qu’en faisait Bewick en 1779 : des chiens de grande taille, très bon nageurs, capables de plonger sous l’eau et d’y récupérer n’importe quel objet et qu’on pouvait également utiliser comme chiens de trait.
Edwards en 1800 pense que ces chiens de Terre Neuve ont été introduits dans cette île par les espagnols. « Un grand nombre de ces chiens furent introduits en Angleterre et dans le reste du globe par les vaisseaux qui allaient à terre Neuve et qui en revenaient ». Il évoque des croisements effectués entre ces chiens et d’autres races, notamment des setters et que les produits issus de ces croisements étaient d’excellents chiens de chasse en particulier dans les marais.
Le lieutenant colonel Hawker dans son livre « Instructions to young sportsmen and guns and shooting » (1830) nous dit : « Chaque race de chiens d’une tailles proche de celle d’un âne et aussi poilu qu’un ours est appelée véritable chien de Terre Neuve. Et pourtant, aussi bien le vrai labrador que le chien de St. John sont très différents d’un tel animal. Le premier est très grand, avec des membres forts, un poil broussailleux, une petite tête et il porte sa queue très haute. Le second, de loin le meilleur pour toute sorte d’activité sportive, est plus souvent noir que d’une autre couleur et à peine plus grand qu’un pointer. Il est plutôt long, avec un nez et une tête profonde, très fin de pattes, avec un poil court et plat, ne porte jamais la queue aussi courbée que l’autre et est très rapide et actif tant à la course qu’à la nage ».
Thomas Bell en 1837 décrit aussi le plus petit de ces deux chiens et Ash nous rapporte ses propos : « Le petit modèle est à présent la plus commune des races, n’excédant pas le taille d’un grand water spaniel, presque entièrement noir mais ne possédant pas cette pure expression considérée comme étant la caractéristiques des races anciennes. Ces chiens là sont très répandus dans les régions intéressées par les échanges commerciaux avec l’île de Terre Neuve ».
Cette dernière affirmation suggère clairement qu’il s’agit donc là de chiens importés. Le modèle de ces chiens continuera de changer sans doute à cause du recours à d’autres variétés de chiens croisés. En 1847, Richardson ne décrit pas moins de quatre variétés de chiens de Terre Neuve ainsi que le grand labrador :
o Premièrement le Terre Neuve, de stature modérée n’excédant que rarement 26 ou 27 inches (66 à 69 cm), à la robe broussailleuse, avec un museau pointu comme celui d’un loup, souvent noir avec des reflets bruns et occasionnellement du blanc.
o Le second est particulier à l’île de Terre Neuve, le poil est court, le nez acéré et confondu par beaucoup avec le vrai Terre Neuve.
o Le troisième est un grand chien dépassant 30 inches (76 cm) et habituellement connu en Grande Bretagne sous le nom de Terre Neuve, considéré comme une race britannique ayant été croisée avec un mastiff. Il dit de ces chiens qu’ils furent exportés jadis vers l’île de Terre Neuve mais que les gens de là bas n’avaient as grand-chose à offrir en retour si ce n’est des corniauds.
o Le quatrième type est appelé labrador spaniel ou petit labrador et « son apparence se situe entre celle du chien de Terre Neuve et celle d’un land spaniel ».
o Il parle enfin du grand labrador « dont la taille varie de 28 à 30 inches (71 à 76 cm) avec un museau plus court et tronqué, la lèvre supérieure plus flottante, le poil plus grossier et qui exprime dans son apparence plus de force que le Terre Neuve ».
En 1862, Stonehenge (cité par Sir A. Holland Hibbert dans sa préface de «The popular retrievers » en 1927) décrit trois familles de Terre Neuves. « Le vrai Terre Neuve, le Terre Neuve d’allure molle à poils longs, appelé grand labrador ; le Terre neuve à poils courts et de taille plus compacte connu sous le nom de chien de St. John ou petit labrador ».
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MessageSujet: Re: Le chien de St. John (JM.Wurtz)   Le chien de St. John (JM.Wurtz) Icon_minitimeJeu 13 Nov 2008 - 10:59

Le grand labrador à poil long et broussailleux décrit par Hawker, Stonehenge et Richardson semble donc issu d’un croisement entre diverses races plus anciennes de chiens utilisés comme retrievers et des water dogs. Il fut ensuite importé à terre Neuve où se poursuivit son développement alors qu’il y avait des échanges permanents de chiens entre la grande Bretagne et terre Neuve pendant plus d’un siècle par le biais des navires de pêche et de commerce. Un tel chien est mentionné par monsieur H. Reginal Cooke dans son chapitre consacré aux flat coated retrievers dans « The popular retrievers » comme étant un ancêtre du flat coated et comme étant l’objet d’une peinture représentant un chien portant l’affixe Pitchford et appartenant au colonel Cotes à Shopspire. Il est dit en tous cas qu’il fut l’ancêtre original importé des flat coated de la lignée Pitchford.
Des chiens issus de croisements entre des Terre Neuves et des races anglaises sont mentionnés par Youatt en 1845 et par le général Hutchinson en 1847. Ash cite Youatt qui écrivait : « Quelques uns des chiens de Terre Neuve furent apporté en Europe et ont été utilisés comme retriever. Ils sont surtout précieux par leur absence de crainte à pénétrer dans la végétation la plus épaisse. Ils sont plutôt petits, puissants et musclés, et généralement noirs. Il existe une race de taille plus grande et actuellement parfaitement fixée, rarement utilisée à la chasse, ou comme chien de trait, mais est surtout admiré pour sa beauté, sa stature et les différentes couleurs dont sa robe est souvent ornée ».
Dans son livre « dog breaking » écrit par le général Hutchinson on peut lire : « Les meilleurs land retrievers (retrievers de terre) sont nés d’un croisement entre le terre Neuve et le setter ou le Terre Neuve et le strong spaniel (spaniel fort). Je ne parle pas du heavy labrador (labrador lourd = grand labrador ??) dont le poids et le gabarit lui offrent plus de puissance à tirer de lourdes charges, ni du terre Neuve dont la taille fut augmentée à Hallifax et à St. John pour plaire aux marchands anglais. Je parle du chien plus petit et plus tôt élevé part les colons de la côte, ce chien qui adore autant l’eau que la terre et qui passe presque toute la période de l’hiver nord-américain à rester des heures durant sur un coin de rocher à chercher intensément du regard ce que les vagues de l’océan pourraient apporter à sa portée. Ce chien est de grande valeur et descend sans doute d’un croisement entre heavy-headed setter (setter à tête lourde), un chien voué aux grands espaces et très fin de nez, et le vrai Terre Neuve, ce qui en fait le meilleur des retrievers. Les qualités de nez sont la première des exigences ».
Cette descrïption faite par Hutchinson est celle du chien de St. John. Malheureusement il ne s’étend pas sur le heavy-headed setter ni sur le strong spaniel mais on peut penser qu’il devait s’agir du setter Gordon et d’une variété de water dog.
Ash fait référence au colonel H. Smith, un globe trotter, qui écrivait en 1843 à, propos de la race originale de Terre Neuve : « un chien remarquable et puissant, à présent bien représenté en Grande Bretagne, mais partiellement croisé avec d’autres chiens et qui diffère de ce fait de la race originale ». Il mentionne la possibilité de croisement avec des chiens courants ayant conduit à des chiens de plus grande taille. On peut peut-être y voir le lien avec le port de fouet plus haut et recourbé qui est celui du grand labrador tel que décrit par Hawker. Smith écrit encore : « Il y a quelques années, la population de chiens de St. John présents à terre Neuve pouvait être estimée à 2000 individus ou plus. Ils étaient livrés à eux-mêmes sur place pendant la saison de pêche
Et ont probablement souffert de faim, de maladies et, devant subvenir seuls à leurs besoins, présentèrent un risque pour la population. Le reste de l’année, ils étaient employés à au transport du bois, des poissons et de toute autre sorte de marchandise et l’on pouvait estimer qu’un seul chien suffisait pour subvenir aux besoins de son maître. Une sorte de peste née de la misère et de la négligence dont ils souffraient fut fatale à bon nombre d’entre eux ».
Il n’y a aucun recensement du nombre de ces chiens qui furent ramenés en Grande Bretagne quand « il fut à la mode d’importer des labradors ». Sans doute le chiffre fut-il moins important que celui avancé par bon nombre d’auteurs. Quoi qu’il en soit, le nombre de chiens disponibles fut limité et il devint impossible de s’en procurer à la fin du XIX ème siècle. Ce fait est confirmé par A. Holland Hibbert (qui fonda son célèbre chenil de labradors au sens moderne du terme n 1884 à Munden) dans « The popular retrievers ». Quand en 1890 il importa les deux derniers chiens de St. John recensés, il parla de la « vieille race en voie d’extinction » et ses tentatives ultérieures d’en ramener d’autres furent infructueuses. Dans « the history of retrievers » en 1914, Charles C. Eley relate l’anecdote suivante (reprise par Richard A. Wolters dans « the labrador retriever, the story, the people » et dans le livre sur le labrador de la comtesse Lorna Howe, une amie intime de Holland Hibbert) : «Le chenil de monsieur Holland Hibbert était si renommé qu’au cours de son voyage sur les côtes du labrador à la recherche de chiens de St. John, son homme de confiance fut informé par que la meilleure chance de trouver encore de tels chiens était de se rendre chez u dénommé Hibbert qui s’occupait de chiens dans la lointaine Angleterre ».
Il est fort probable que pendant la période où les sportsmen réclamaient du labrador importé, plusieurs de ces messieurs, peu méfiants, furent trompés sur la marchandise et achetèrent à prix élevé des chiens de production locale . En ces temps qui précédaient la naissance des clubs de races, il n’y avait aucun expert officiel capable de donner son opinion et le fait qu’en cette période Victorienne, il était du « plus chic » d’acheter de l’exotisme, ces ventes frauduleuses n’en étaient que plus faciles.
Le chien de St. John ne fut pas décrit avant la fin du premier quart du XIX ème siècle. Il semble fort probable qu’il ne se soit pas entièrement développé sur l’île de Terre neuve et qu’il y arriva depuis l’Angleterre à l’aube du XIX ème siècle. Dans son numéro du 3 juillet 1869, la revue « letter in the field » replace le St. John dans sa véritable position disant qu’il n’est pas un vrai chien de Terre Neuve mais qu’on le nomme ainsi uniquement parce qu’il est né là bas. Sans doute le croisement dont il fut issu s’opéra-t-il en Grande Bretagne comme le laissent penser de nombreux caractères communs au water dog. Quoi qu’il en soit, il fut élevé et utilisé sur l’île de Terre Neuve pendant 50 ans ou plus avant qu’il ne s’éteigne là bas à la fin des années 1880. La couleur du St. John était noire, mais quelque fois des chiots couleur foie (marron) naissaient dans des portées dont les autres chiots étaient noirs. Si l’on en croit Idstone, des franges tigrées ou bringées n’étaient pas rares sur les chiens de robe noire. Dans une lettre qu’il adresse à la revue « the field » le 18 novembre 1865 on peut lire : « En référence à votre article consacré aux retrievers, permettes moi de vous donner quelques exemples pour vous prouver que l’aspect tigré ou bringé des pattes est un trait caractéristique du chien de St. John. J’ai acheté à Poole plusieurs excellents chiens ramenés depuis la White Bay dans la région de St. John par le « Mountaineer ». J’en ai acheté une paire un automne dont l’un était à poils lisses et l’autre à poils durs. Celui à robe lisse avait les pattes et le visage tigré. L’autre, nommé Shag, qui est actuellement la propriété d’un gentleman de la région de Whye dans le Kent avait les pieds bringés ainsi que l’arrière main. Ses descendants ont tous cette couleur distinctive et, l’un d’entre eux, certainement le meilleur chien d’Angleterre, appartient à l’un de mes amis à Wilts. Snow, un chien que j’ai acheté au « King’s arms » à Poole dès qu’il y débarqua à l’automne 1859 présentait les mêmes marques sur sa robe. Au printemps dernier me fut offert un chien qui avait été acheté au capitaine du « Mountaineer » l’automne précédent. Ce chien n’était pas noir mais couleur bronze avec des franges bringées. J’ai vu, certes rarement, des chiens à la robe totalement bringée débarquer à Poole, mais ils avaient été ramenés par des capitaines de marine ignorants du fait que la préférence allait aux chiens noirs. Il y a beaucoup de bâtards à St. John, mais les capitaines qui accordent une certaine attention aux chiens savent très bien où se procurer de bons spécimens et, moi qui habite non loin de Poole, je sais quelles sont les personnes avec qui je peux faire affaire ».
Dans une lettre plus tardive, Idstone écrit que les chiens qu’il a achetés à Poole étaient tigrés, poil court et généralement noirs.
Pour résumer, il semble que de grands chiens furent originalement introduits sur l’île de Terre Neuve, sans doute en provenance d’Europe au XVII ème siècle et furent développés là bas pour des travaux de trait. Comme les liens entre Terre Neuve et l’Europe, en particulier la Grande Bretagne se ressérèrent par le biais du commerce, et surtout de la pêche, les échanges de chiens devenaient monnaie courante. Les premiers déplacements se firent vers la Grande Bretagne au début du XVIII ème siècle et les chiens rapportés depuis Terre Neuve furent croisés avec d’autres races. Des mastiffs pour obtenir de puissants chiens de garde, des chiens courants, des setters et des water dogs pour obtenir des chiens utilisables comme retriever. Les navires de pêche eux-mêmes utilisaient des chiens capables de travailler dans l’eau. Il y avait des opportunités d’échanges continus jusqu’en plein cœur du XIX ème siècle, jusqu’à ce que l’activité de pêche ne s’interrompe mettant un frein aux moyens de transporter des chiens.
L’acquisition de chiens issus de croisements avec des Terre Neuves entraîna un changement de modèle des chiens présents sur les îles britanniques et le début d’une série de descrïptions confuses et d’une nomenclature fluctuante des différents types de chiens faisant qu’aucune image claire et précise ne se dégage d’eux.
Le dernier type à émerger, le chien de St. John, se développa très tardivement principalement dans les régions côtières de l’Angleterre. En revenant sur les côtes britanniques au cours du XIX ème siècle, il ne fera que revenir sur sa terre natal pour refermer le cercle de son histoire.
Quand la pêche finalement cessa à la fin du XIX ème siècle, et bien que la demande pour ces chiens continua d’être forte, la mise à disposition de ces chiens de l’île de Terre neuve et des côtes du Labrador s’effondra.
Les chiens de Terre neuve ayant contribué à la naissance du wavy coated retriever sont le grand Terre Neuve original, le grand labrador à poil broussailleux et au port de fouet identique à celui des chiens courants et le petit labrador ou petit Terre Neuve ou chien de St. John qui est avant tout un Water dog. Le grand Terre Neuve a émergé sous la forme de la race connue de nos jours sous le nom de Terre Neuve. Il a donné au flat coated retriever sa démarche et son « pied marin ».
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